Un projet écologique à 100% :
éoliennes en zone arctique
Le but de ce projet est de commencer à résoudre réellement un des problèmes causés par le réchauffement climatique.
Donc ce projet doit être exemplaire à tous les niveaux.
Nous posons les bases techniques de cette solution pour pouvoir agir durablement. Dès le départ tout doit être fait de façon exemplaire et optimale.
Comme aucun matériel, et aucune méthode utilisés ailleurs ne peuvent être utilisés dans ce projet à cause des conditions extrêmes, tout est à repenser, avec comme critère prioritaire de ne pas polluer.
Le projet est hyper écologique :
- Empreinte carbone nulle dans les zones polaires.
- Aucune utilisation de carburant fossile dans les zones polaires.
Energie électrique d'origine éolienne partout.
Même les bateaux amenant le matériel doivent fonctionner à l'électricité d'origine renouvelable (pile à combustible et hydrogène produit grâce à l'énergie éolienne).
- La totalité des installations est démontable facilement, sans laisser 1 gramme de déchet : pipelines, base vie, etc.
La déconstruction doit être simple. Le démontage est prévu lors de la construction.
- Analyse par des ONG écologistes :
- avant la réalisation,
- pendant la réalisation,
- pendant le fonctionnement.
Pour bien montrer que l'on veut quelque chose de super écologique et de totalement irréprochable, on place toutes les normes au-dessus de ce que font les autres expéditions polaires.
Toutes les expéditions polaires utilisent des hydrocarbures. Mais dans ce projet, le but est de ne pas en utiliser. Là, c'est une exigence encore plus grande.
Habituellement, des avions, des hélicoptères, des engins de tractage très polluants, etc, sont utilisés, même en Antarctique.
Jusqu'à présent, aucune expédition polaire n'a mis la barre aussi haut.
Des éoliennes pour ne pas polluer l'atmosphère sur place :
Il faut utiliser des énergies renouvelables.
Principalement l'énergie éolienne qui est disponible en hiver, alors que le solaire ne l'est pas.
Car la consommation d'énergies fossiles est la cause du réchauffement climatique et donc de la montée du niveau des océans.
Utiliser des énergies fossiles pour lutter contre les conséquences de l'utilisation des énergies fossiles serait un non-sens.
Mais aussi, car les lieux de stockage de l'eau sous forme de neige (Antarctique, Groenland, Svalbard, etc) sont des réserves naturelles qui ne doivent pas être polluées.
Les milieux polaires sont des milieux grandement épargnés par la pollution, et qu'il convient de ne pas polluer.
Donc utiliser des énergies fossiles serait une très mauvaise idée.
L'énergie solaire est très difficilement utilisable dans les régions polaires (arctiques et antarctiques), car la moitié de l'année le soleil est inexistant, et l'autre moitié du temps il est d'une intensité faible malgré sa présence permanente.
Sur les côtes de l'Antarctique et du Groenland, et dans les régions polaires en général, il y a des vents puissants pouvant actionner efficacement des éoliennes.
Des câbles électriques transportant l'électricité sont installés à côté du pipeline transportant l'eau à stocker.
Des piles à combustible peuvent être utilisées pour stocker l'énergie électrique.
éolienne en Antarctique
L'obligation du dessalement :
Les eaux arctiques et antarctiques sont très riches en krill et en phytoplancton.
De plus, l'eau qui est pompée dans les océans est salée.
Mais l'eau qui va être stockée sous forme de neige doit être de l'eau pure.
Car les endroits de stockage (Antarctique, Groenland, Svalbard, etc) sont les plus grandes réserves d'eau douce de la Terre (le Groenland représente 10% de l'eau douce à la surface du globe).
De plus, ce sont des réserves naturelles protégées qui ne doivent pas être altérées ou polluées, ce contrôle est très strict.
On ne peut donc y stocker que de l'eau douce pure.
De plus, l'eau salée gelée pourrait avoir un comportement non prévisible, car sa température de fusion est inférieure à celle de l'eau pure, et le sel pourrait migrer vers le bas et contaminer les couches inférieures constituées d'eau pure.
Il faut uniquement reproduire le mécanisme de la nature en stockant de la neige pure ou de la glace pure.
Donc, l'eau qui va être stockée doit être filtrée : le krill, le phytoplancton, le sel, etc, doivent rester en mer.
La filtration et le dessalement se font avant l'envoi de l'eau dans le pipeline terrestre.
Pas un gramme de sel, ou de phytoplancton ou de krill n'est déposé sur la glace polaire.
L'eau est stockée sous forme de neige ou de glace, comme le fait la nature.
Le but du projet est de corriger les erreurs écologiques qui ont été faites en émettant massivement des gaz à effet de serre, donc le projet ne doit pas produire de gaz à effet de serre.
C'est aussi la démonstration qu'un projet fonctionnant à 100% avec des énergies renouvelables peut fonctionner dans les pires conditions météorologiques possibles.
C'est de plus un projet totalement démontable pour ne laisser aucune trace à 100%.
Le stockage est totalement réversible.
à l'intérieur de l'Antarctique et du Groenland, il n'y a pas de faune ou de flore, les conditions climatiques ne le permettent pas.
L'impact sur l'environnement est donc nul :
- il n'y a pas d'animaux sur la calotte polaire antarctique ou la calotte polaire groenlandaise,
- il n'y a pas non plus de végétation dans ces régions.
Ce projet doit être écologiquement exemplaire :
- Zéro pollution pendant la construction.
- Zéro pollution pendant l'utilisation.
- Zéro pollution après l'utilisation (démontage).
- Zéro pollution de l'air.
- Zéro pollution de l'eau.
- Zéro pollution des glaciers.